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Centre de services scolaire
de la Région-de-Sherbrooke

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Campagne de dons majeurs

La Fondation pour les élèves de la CSRS lance aujourd’hui sa deuxième campagne de dons majeurs 2017-2022 et dévoile par le fait même ses coprésidents d’honneur : Louise Boisvert et Louis Côté.

Créée en 2007, la Fondation pour les élèves de la CSRS met en place des projets complémentaires avec les actions déjà entreprises dans les écoles de la CSRS pour favoriser la persévérance scolaire. « Depuis maintenant dix ans, elle a établi un climat favorable et une synergie des forces vives de la région pour promouvoir la persévérance scolaire et la réussite de tous les élèves. La Fondation, comme les autres partenaires du milieu de l’éducation, aura pour défis, au cours des prochaines années, de poursuivre ses actions pour contrer le décrochage scolaire », explique Serge Audet, directeur du développement de la Fondation pour les élèves de la CSRS.

 

Les cinq dernières années d’activité de la Fondation ont permis à la CSRS et à ses partenaires de mettre en place des modèles d’intervention qui ont fait leurs preuves. Elle a investi plus de 5 M $, récoltés au cours d’une première campagne de financement. « Depuis notre dernière campagne, plusieurs projets ont vu le jour et les résultats sont impressionnants. Mais ces sommes étant toutes engagées, et les besoins demeurant réels et grandissants, nous devons poursuivre notre mission. Nous avons donc l’obligation de continuer ce qui a déjà été entrepris », déclare Guy Fauteux, président de la Fondation pour les élèves de la CSRS.

 

Un investissement dans la persévérance scolaire

 

Dans le cadre de cette deuxième et ambitieuse campagne de dons majeurs dont l’objectif est fixé à 3 M $, Louise Boisvert, présidente éditrice de La Voix de l’Est et de La Tribune, et son conjoint Louis Côté, professeur à l’école de gestion de l’Université de Sherbrooke, ont accepté la coprésidence d’honneur.

 

« Cette cause nous interpelle tout particulièrement. De beaux projets sont actuellement sur la table : ils permettront de faire éclore des passions, de susciter l’intérêt et d’alimenter cette soif d’apprendre. Bref, ce sont des outils de plus qui aideront le personnel de la CSRS dans sa mission », soutiennent les coprésidents d’honneur de la campagne Louise Boisvert et Louis Côté.

 

Centrée sur l’action, la Fondation pour les élèves de la CSRS a ainsi choisir d’investir dans cinq axes de développement, en appui aux écoles publiques de la CSRS :

Entrepreneuriat

 

Le premier axe concerne la culture entrepreneuriale, associée à un environnement propice à l’émergence de l’entrepreneuriat et des valeurs entrepreneuriales ainsi qu’à la reconnaissance de la contribution des entrepreneurs à leur milieu (ex. : projet Robotique).

 

École famille communauté

 

Les activités concernant plus particulièrement les partenaires principaux visent l’acquisition d’attitudes qui favorisent la persévérance scolaire, telles la curiosité, l’intérêt et le goût d’apprendre (ex. : le programme Reste à l’école!).

 

Culture, sports et loisirs

 

Les activités culturelles et la pratique de sports d’équipe favorisent le développement d’un sentiment d’appartenance chez les jeunes, stimulant aussi le désir de rester à l’école et de réussir (ex. : le concours « Sors de ta bulle »).

 

Développer et encourager la persévérance et la réussite scolaires

 

Encourager les élèves à se dépasser par des projets visant à les valoriser et à identifier leurs intérêts, en plus de les reconnaître et de développer leur estime de soi (ex. : Gala des Bravos).

 

Formation professionnelle : un levier économique

 

Outre la solide formation de base, la formation donnée en atelier et en stage est concrète; les apprentissages s’effectuent avec de l’équipement à la fine pointe de la technologie (ex. : Propulsion Jeunesse Desjardins).

 

En 2014-2015, le taux de décrochage scolaire de la CSRS affichait 19,8 %, comparativement à 24,4 % en 2009-2010. Ce taux est inférieur à celui de la moyenne estrienne du réseau public, qui se situe à 20,2 % en 2014-2015. Même si la situation du décrochage scolaire en région demeure toujours préoccupante, ces chiffres démontrent qu’il est possible de faire la différence par la mobilisation de tous.

Pour en savoir plus