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Centre de services scolaire
de la Région-de-Sherbrooke

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Le bénévolat, une histoire de coeur au PEI

À l’école internationale du Phare, l’engagement communautaire est une histoire de cœur. Chaque année, près de 3500 heures de bénévolat sont effectuées dans les organismes de la région par les élèves du Programme d’éducation internationale (PEI).

Même si l’implication communautaire fait partie intégrante du parcours de ces citoyens du monde de la 1re à la 5e secondaire, il n’est pas rare de les voir dépasser les objectifs du programme, animés par de fortes valeurs de solidarité et d’ouverture aux autres. En cette Semaine de l’action bénévole, l’école internationale du Phare tient donc à rendre hommage à des jeunes bénévoles d’exception qui donnent sans compter à leur milieu et toujours avec cœur : Jhon Carvajal (4e sec.), Myriam Cliche (5e sec.), Frédérika Jean (5e sec.), Émilie Lemelin-Noël (2e sec.) et William Gendreau (3e sec.).

 

Jhon Carvajal lève toujours la main lorsque des gens ont besoin d’un coup de main. Il n’hésite jamais à offrir de son temps que ce soit dans les sports, pour le bon déroulement des tournois de la région, ou encore dans son milieu, avec les portes ouvertes de son école, le brunch de Noël, la vente-débarras de la Fondation de l’école internationale du Phare, etc. « On prend goût au bénévolat, souligne le jeune homme. En plus de rendre service, ça donne de l’expérience et des contacts.»

Myriam Cliche et Frédérika Jean sont du même avis. « Plus on en fait, plus on adore ça, mentionne Myriam. On se sent vraiment utile et on s’amuse. Il faut dire que les deux amies font parfois leur bénévolat ensemble. «L’an dernier, nous avons organisé un concert de musique toutes les deux pour des personnes âgées et on voyait qu’elles étaient heureuses de l’événement», ajoute Frédérika.

Émilie Lemelin-Noël, quant à elle, goûte au bénévolat depuis deux ans dans le cadre du PEI, mais depuis six ans à l’intérieur du mouvement scout. «Je suis toujours prête à aider. C’est gratifiant de faire plaisir aux autres», explique la jeune fille qui a notamment donné du temps aux Grands Frères Grandes Sœurs de l’Estrie, au Carnaval de Sherbrooke et au Salon du bénévolat de l’école internationale du Phare.

S’il est d’accord avec ses camarades, William Gendreau ajoute également au bénévolat l’avantage de découvrir des métiers, lui qui occupe la fonction de « chef technicien » lors des événements de son école. « Le bénévolat, précise-t-il, nous donne la chance de toucher à des domaines très diversifiés».

Peu importe la raison pour laquelle ils font du bénévolat, les jeunes du PEI s’accordent tous pour dire qu’ils peuvent faire une différence significative dans le monde qui les entoure et ça, ça n’a pas de prix.