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Centre de services scolaire
de la Région-de-Sherbrooke

Centre de services scolaire
de la Région-de-Sherbrooke

Projet de fusion

Les positions proposées par les conseils des commissaires francophones de l’Estrie rejoignent les préoccupations du ministre d’abaisser le nombre total de commissions scolaires francophones en Estrie et de mettre en place des mesures qui favoriseront la qualité des services aux élèves visant leur réussite éducative.

 

 

Les commissions scolaires francophones et anglophones de l’Estrie (la Commission scolaire des Hauts-Cantons (CSHC), la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke (CSRS), la Commission scolaire des Sommets (CSS) et la Commission scolaire Eastern Townships (CSET)) ont adopté des résolutions qu’elles comptent présenter au ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport afin de lui exposer leurs points de vue sur la proposition ministérielle de fusions des commissions scolaires. Les positions proposées par les conseils des commissaires francophones de l’Estrie rejoignent les préoccupations du ministre d’abaisser le nombre total de commissions scolaires francophones en Estrie et de mettre en place des mesures qui favoriseront la qualité des services aux élèves visant leur réussite éducative. Un consensus régional fort ressort des positions adoptées; il est important que le centre des décisions prises par les commissions scolaires, qui sont des gouvernements locaux autonomes, demeure près des citoyens.

 

En résumé, le projet de fusions déposé par le ministre concernant les trois commissions scolaires francophones de l’Estrie se traduirait par la création d’une entité administrative dont le territoire s’étendrait sur plus de 10 000 km2, qui couvrirait 7 MRC et qui desservirait plus de 36 000 élèves répartis dans plus de 120 établissements. Des préoccupations importantes concernent la diversité des communautés (rurales et urbaines) et la difficulté pour les parents d’être adéquatement représentés lors des séances de consultation.  De plus, peu information a été fournie concernant les bénéfices anticipés pour les élèves ni d’ailleurs de données sur les économies qui seraient générées par l’application du plan ministériel déposé.

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